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Nous sommes le Dimanche 7 Mai 2006, au Nurburgring (Allemagne) pour le Grand
Prix d' Europe, la cinquième manche de la saison qui se veut décisive pour
le championnat puisque Renault peut s' éloigner et prendre le large. Les
conditions sont idéales pour un GP, 20° dans l' air, 39° sur la piste puis
41° en fin de course, peu d' humidité (32%) et un peu de vent pour
rafraîchir les moteurs ( 3.1m par secondes ). Aujourd'hui le challenge après
que Renault est prit l' avantage ce week-end avec la pôle position de
Fernando Alonso, est pour l' écurie championne du monde de conserver cette
position, ce qui ne sera pas une mince affaire, et d' avancer Fisichella
dans les points pour conforter Renault en tant que leader au championnat
constructeur. Pour Ferrari, qui a placé Samedi ces deux monoplaces aux
deuxièmes et troisièmes places des qualifications, le challenge est de
consolider sa prise de position à Imola il y a deux semaine, et donc de
remporter le Grand Prix d' Europe. Sans oublier Montagny s' élançant pour
son premier Grand Prix en 21eme position, sur une Super Aguri, avec les
Williams, déclassé de 10 places pour moteur changée...
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Le départ donné, les bêtes lâchées, c' est
Alonso qui prit le meilleur départ du trio de tête et tout cela sans
encombre jusqu' au premier virage puisque Liuzzi (Toro Rosso) heurtait par
l' arrière par David Coulthard sur RedBull abandonna en plein milieu de
piste avec le pneu arrière doit crevé et l' aileron avant à moitié détaché
du museau de la Toro Rosso, ce fut également le cas (abandon) de David
Coulthard quelques tours plus loin. La monoplace, laissé à l' abandon sur le
piste provoqua donc l' intervention de la voiture de sécurité (Safety Car),
obligeant tous les pilotes à ralentir leur allure. Une fois la Formule 1
enlevé, le départ redonné, c' est une fois de plus Fernando Alonso qui
en profita le plus en grappillant quelques centièmes sur sont suivant
Mickael Schumacher. Déjà à ce moment là de la course les deux pilotes savent
qu' ils se battrons jusqu' au bout, d' abord a coût de chrono, chacun
relisant le meilleur tout en course, finalement laissé au sextuple champion
du monde en 1'32''099''', seul les ravitaillements, tant attendus
pourront les départager. En effet lors de la première salve rien ne changea
pour les leaders, Alonso était toujours premiers suivit de Schumacher et de
Massa, mais tout va se jouer lors du deuxième ravitaillement. Cependant
entre temps le peloton, déjà à plus de 30 secondes au bout d' une dizaine de
tours. D' abord, d' autres luttes avaient lieu, celle de Montoya et de
Fisichella, qui le dépassa à la sorti des stands, puis de Montoya et
Villeneuve... Mais aussi entre les Super Aguri, reléguées dernières... |
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Des abandons ont également eut lieu
après l' accrochage de Liuzzi et de Coulthard en début de course. Le premier
victime d' une casse mécanique fut Marc Weber sur la williams pour cause
Hydraulique( tour 13 ) puis ce fut à Klien sur RedBull (tour 29), dans le
même tour c' est Jenson Button qui pour casse moteur abandonna, suivi un
tours plus tard de notre vedette française, Franck Montagny, à cause d' un
problème de moteur, puis de son co-équipier, Takuma Sato victime de sa
carrosserie et d' un mini aileron sur le cockpit l' obligeant à s' arrêter.
Enfin, Montoya et Ralph Schumacher abandonnèrent également victimes eux d'
une casse moteur au 53eme tour.
Quant à la tête de la course quelques petit changements commencèrent à
opérer. En effet, les Ferrari avec plus d' essence embarqué, on put
ravitailler plus tard, être plus légères et gagner du temps, ce qui fut le
cas, puisque lors de la deuxième salves de ravitaillements, Mickael
Schumacher en ravitaillant 4touts après Alonso et en signant à chaque
passage un temps inférieur à 1 minute 32 prendre l' avantage sur Renault
avec même plus de 5 secondes d' avances, à partir de là, tout était terminé,
il restait à peine 2 tours, mais Alonso ne parvint pas à revenir et c' est
même les poursuivants, Massa et Raikkonen qui revenait sur l' espagnol,
'contrôlant" son avance. La fin de course fut favorable a Fisichella, qui
prit la 6eme place, les téléspectateurs furent tenus en haleine jusqu' a la
fin grâce au duel Ferrari Mclaren, entre Massa et Raikkonen, mais le jeune
brésilien ne céda pas à la pression et c' est finalement Ferrara le maître
du jeu aujourd'hui avec ces deux monoplaces sur le podium!
Ferrari confirme se place d' adversaire
numéro un de l' "écurie Française au détriment de McLaren Mercedes que
l'on attendait plus présentes tout comme les Honda qui place Barrichello
seulement 5eme. > voir le classement du GP
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